Le transit entre les arbres de mon jardin de la belle nébuleuse de l’Aigle (M16 dans la constellation du Serpent) ne dure malheureusement que 90 minutes. Il aura donc fallu s’y prendre 4 fois pour accumuler un peu plus de 5 heures de pose. Mais je crois savoir qu’elle sera à nouveau au rendez-vous l’an prochain. Elle ne perd donc rien pour attendre…
C’est justement ce qui est arrivé à la nébuleuse du Croissant (NGC 6888 dans la constellation du Cygne). J’ai pu rajouter 15 heures de pose aux 10 heures réalisées l’an dernier.
Bon ciel à tous.
Daniel
Jeanine
Belles photos, beau commentaire et surtout bel échange entre deux astrophotographes dont on apprécie les partagés
Jeanine
Daniel
Merci Jeanine.
Oui, Catherine est expérimentée et perspicace. Alors je fais de mon mieux pour éviter de lui raconter des carabistouilles…
Thierry
Bravo Daniel, j’adore !!!
Daniel
Merci Thierry.
Enfin du ciel bleu ! Les affaires vont pouvoir reprendre…
Catherine
Merci Daniel,
Suis stupéfaite que tu superposes des photos prises avec un an de décalage, même avec les mêmes réglages et même lieu le point de vue de l’astre change..hum…tu es un magicien !
Catherine
Daniel
Merci Catherine.
Non, non point de magie ici ! Les logiciels communs (DEEPSKYSTACKER, SIRIL + SIRILIC,…) permettent sans problème de faire ce travail. Je veille à utiliser le même temps de pose et le même gain pour tous les clichés d’un même objet. Il faut simplement prendre soin d’associer les bons fichiers darks et flats aux lights. Les cadrages différents ne sont pas un problème pour ces logiciels. Bien sûr on ne pourra exploiter au final que l’intersection de tous les cadrages, mais avec le « plate-solving » on retrouve sans problème le même cadrage d’une nuit à l’autre ou d’une année à l’autre. Si le temps total de pose était limité à la durée d’une seule nuit, l’astrophotographie ne serait pas ce qu’elle est…
Daniel